Recommandation

Les recommandations (recos) ou recommandations de bonne pratique (RBP), incitatives informatives; référentiels, guides de pratique guident, informent la pratique des MG; Historiquement les fiches de transparence^[1] de l'ex Agence du médicament, ou fiches de bon usage avaient commencé par certains médicaments en 97 ?. Elles s'inscrivent dans le paradigme de la Médecine fondée sur les preuves, à coté de l'expertise du MG et du patient sa dynamique ses préférences ses choix dans une DP; et d'une "dynamique de reconfiguration des pratiques" progressive.

Historiquement on est passé de on fait ce qui est écrit dans tel traité livre, puis cours, question d'internat; (Parfois selon certains, et selon d'autres..)

Puis ANDEM puis ANAES, perçu comme une "maitrise comptable"

Les "références médicales opposables" : il n'y a pas lieu de, en France ont braqué une partie des médecins à la fin du XXe;

à il faudrait ou il faut, ce qui peut aussi être critiquable : théoriquement; et en rapport avec la surmédicalisation de la société pouvant surexposer le coté "biomédical" au dépends de l'approche globale du BPS et de l'interprétation par le praticien de la situation, avec ses compétences humaines. Les notions d'indicateurs et de parcours transforment la pers

On passe à une "régulation hétéro-normée de plus en plus complexe et multilatérale" qui constitue une caractéristique du monde médical des vingt à trente dernières années » (Hammer, 2010, p. 50)^[2]

La recherche en MG et la lecture critique les évaluent et transforment.

Le contrôle des recos par les organisations de MG et sociétés savantes et leur transformation attendue est un enjeu.

Prescrire évalue régulièrement les recos de l'HAS.

L'analyse de situations réelles, de la complexité est visible dans les RSCA dans les GEP (ou Groupe de pairs) et dépasse une entrée univoque de reco, ou un empilement de recos.